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16/04 Journée Internationale des Luttes paysannes – Mobilisation contre l’extension de l’aéroport de Liège
Malgré l’opposition massive des riverain·e·s, l’appétit du géant ne
s’arrête pas. Après avoir exproprié plus d’une dizaine de fermes et
bétonné des terres fertiles, près de 280 hectares sont encore visés dans la région. Rappelons-le pour celleux qui l’auraient oublié : le béton, ça ne se mange pas !
Chaque année, elle en grignote un peu plus. La bétonneuse avale tout
sur son passage : nos choux, oignons, céréales, pommes de terres,…
tout y passe ! Ne restent que de grandes étendues grises à la place de
nos champs nourriciers. En Wallonie, pas moins de 1560 hectares sont artificialisés en moyenne chaque année, ce qui représente 3 terrains de foot par jour.
Conséquences : les terres se raréfient, les prix
explosent et les agriculteurs·ices ont toujours plus de mal à accéder à
la terre, particulièrement les jeunes dont le travail permettra pourtant
de nous nourrir demain …
Dans les pays dits du Sud, des terres sont retirées chaque jour aux communautés paysannes pour produire notre nourriture. Bétonner ici, c’est reprendre ailleurs. Cherchez l’erreur !
Num. d’entreprise : 0799.472.911
Compte bancaire : BE72 3632 3483 4616
Siège social : Rue du Broctia, 14
5020 Namur Malonne
"Tout comme l'alcool, le tabac et les armes à feu, le sucre (1) devrait être soumis à une réglementation. C'est une substance nocive utilisée en trop grande quantité. Il faudrait le considérer comme un additif et non comme un aliment, et lui définir des seuils limites obligatoires." Dale Bredesen - Buck Institute for research on aging - Kalifornien
(1) et cela vaut pour le sel aussi